Un réseau de téléconduite à valeur ajoutée

L’obsolescence naissante du réseau TTR, la croissance notable des besoins en téléinformations due pour part à l’augmentation de la taille du réseau de transport et d’autre part à l’évolution de la répartition des fonctionnalités entre les différents points de conduite, et enfin aux besoins toujours plus prégnants en sûreté de fonctionnement ont amené à rénover le réseau de téléconduite.

Alors que le réseau de téléconduite issu du SDART avait été construit progressivement, de façon pragmatique, son successeur ARTERE a fait l’objet d’une conception globale et complexe en prenant notamment en compte les points majeurs suivants :

• L’appui des protocoles sur des normes internationales ou des standards de fait.
• La séparation entre transmission et traitements afin de préserver une agilité dans les évolutions
• Une sûreté de fonctionnement accrue avec une surveillance du réseau lui-même et des applications connectées et des capacités à agir au niveau des 7 centres d’administration du réseau
• Une optimisation des capacités de transmission en permettant la multidiffusion au plus près des destinataires
• Des mécanismes élaborés de reconstruction
• Des possibilités de différencier les niveaux de service selon des paramètres divers (exemples : une transmission plus immédiate des signalisations que des mesures ou une purge des informations les moins importantes en cas d’une éventuelle saturation)
• Une gestion des versions de données avec des possibilités d’anticipation des saisies…

Si vous voulez en savoir encore plus la station réseau de transmission ou le site du conservatoire des télécommunications vous permettront d’aller encore plus au fond des choses.