Poste opérateur du PCH, COMSIP

Le poste opérateur du PCH est représentatif des interfaces Homme Machine des années 1970.

Les interfaces à base d’écrans étaient en effet peu performants, la plupart basées sur des saisies clavier.

Les platines à « boutons » malgré leur aspect rétrograde étaient d’une grande efficacité vu des opérateurs, qui n’ont adopté qu’à regret, les technologies plus modernes.

Pour eux, en effet, la platine est toujours présente (pas de nécessité d’appel d’image pour accéder aux fonctions), les désignations sont naturelles et rapides, les boutons sont bien évidement toujours positionnés au même endroit, ce qui dans les phases d’incidents et de stress est un atout indiscutable pour le temps de réaction. De plus, la prise en compte du retour donné par le signal lumineux donné des boutons ou des voyants est, avec l’expérience de l’opérateur, une  action quasi reflexe.

On retrouve le même type d’ergonomie pour les platines téléphoniques des dispatchers.

Pour ce qui concerne le « POP » du PCH

Une première sélection concerne l’usine, une deuxième le groupe (ou l’ensemble des groupes), viennent ensuite la fonction (démarrage en turbine, démarrage en pompe, marche en synchrone, arrêt, participation aux réglages …), le choix de la puissance,  le fait de lancer une action immédiate ou une programmation… pour finir par une validation

Vidéo du « pop » à mettre une fois validée